Différences

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+======L'Informateur de Seine-et-Marne (1899-1944)======
+=====1929====
+  * //[[:per:informateur.sm#|L'Informateur de Seine-et-Marne]]// 30/16 (26 février 1929) 2.
+    * **Maincy** — //Nécrologie.// — M. Paul Jazey, conseiller municipal, ancien négociant connu dans toute la région, est décédé subitement en automobile, alors qu'il se rendait chez sa belle-mère, à Maincy. M. Jazey a tenu de longues années la maison de commerce paternelle et avec lui s'éteint une vieille famille de [[:milly|Milly]]. Ses concitoyens, reconnaissant son bon sens et ses qualités personnelles, le nommèrent conseiller municipal, en 1925. Ses obsèques ont été célébrées mercredi, à 2 heures, au milieu d'une foule considérable venue de toutes les communes environnantes et dans laquelle on remarquait: M. Aubry, conseiller d'arrondissement; tout le conseil municipal de [[:milly|Milly]], sous la conduite de MM. Vajou, maire, et Timbert, adjoint; Meneux, maire d'[[:oncy|Oncy]], etc... Les cordons du poêle étaient tenus par MM. A. Liard, Porquet, Lucien Charpentier, Séguin. Au cimetière, M. H. Séguin a prononcé un discours dans lequel il a retracé la vie du défunt.
+    * **[[:moigny|Moigny]]** — //Au sujet de bois.// — M. Gustave Monmarché, propriétaire à [[:moigny|Moigny]]; M. Sellier Alphonse, cocher au [[:chateau:courances|château]] de [[:courances|Courances]]; M. Lucien Trouvé, cultivateur à [[:soisy.sur.ec|Soisy-sur-École]] et M. Albert Belzanne, cultivateur à la Planche, commune de Perthes-en-Gâtinais, possèdent ensemble un bois de 16 arcs 88 centiares, situé au lieudit la Justice, commune de Cély-en-Bière, et se composant en majeur partie de chênes, de châtaigniers et de bouleaux d'une quarantaine d'années. Au mois d'août 1927, M. Trouvé a abattu et vendu du bois sans en faire part à ses collègues. Ceux-ci lui ont réclamé chacun 525 francs, mais le cultivateur de [[:soisy.sur.ec|Soisy]] a trouvé la somme exagérée et a refusé une entente. Alors, les propriétaires, se déclarant lésés, ont porté plainte contre M. Trouvé. Celui-ci reconnaît qu'il a fait erreur et qu'il a empiété sur des parcelles qui ne lui appartenaient pas, mais il spécifie qu'il s'arrangera seulement si un expert se rend sur les lieux, juge la contenance du bois et en estime la valeur.