Poème acrostiche déplorant son départ de la préfecture d'Eure-et-Loir pour celle de Seine-et-Oise, signé D.L.V. lui est dédié (Journal du département d'Eure-et-Loir 4 du 27 janvier 1814):
Dans tous nos cœurs, hélas! habite la tristesse:
En vain nous avons pu conserver une fois
L'auguste magistrat, dont la haute sagesse
Affermit, parmi nous, le bon ordre et les lois;
Il cède aux vœux puissants d'un prince magnanime,
Toujours juste et soigneux d'honorer les talents,
Respectable Préfet, digne de tant d'estime,
Eure-et-Loir espérait te garder plus longtemps!