BULLETIN DE LA SOCIÉTÉ HISTORIQUE & ARCHÉOLOGIQUE DE CORBEIL, D'ÉTAMPES ET DU HUREPOIX
CORNEIL ETAMPES PARIS ALPHONSE PICARD ET FILS, ÉDITEURS LIBRAIRES DES ARCHIVES NATIONALES ET DE LA SOCIÉTÉ DE L'ÉCOLE DES CHARTES Rue Bonaparte, 82 1897
નો R O Con Toutes ces monnaies étaient tellement corrodées par leur long séjour au fond du puits de Chantalouet ou Chantaloé, qu'il a fallu, pour essayer de reconstituer les légendes, en aligner un grand nombre, prendre une lettre de ci, une autre de là. Quelques rares exemplaires mieux conservés en ont fourni des fragments entiers; mais bien que la lecture ait été de notre part l'objet d'une attention très soutenue et d'un soin minutieux nous n'oserions affirmer que notre dernière interprétation ne pût être réformée. Quel que soit d'ailleurs le groupement que nous ayons pu adopter pour les lettres de ces légendes, il a été impossible d'y trouver un sens intelligible. Mais s'il est à peu près certain que ces légendes sont inexplicables, est-il impossible de rapprocher la monnaie elle-même d'un type connu et de lui fixer une époque? Assurément non. Le caractère des lettres et des signes employés nous est pour cela un guide sûr. Rien qu'à l'examen, on reconnaît que ces pièces portent avec elles l'empreinte du monnoyage de Charles VI. On peut avec certitude leur assigner une date d'émission postérieure à 1413. C'est en effet du type du double tournois de Charles VI, ouvré en Juin 1413 pendant la démence du Roi, sous l'administration du duc Jean de Berry, que l'on peut les rapprocher (2). Qu'il y ait (1) Dans la légende du droit, sur le cliché, lire IOD ou ION au lieu de IOP, qui est une erreur de gravure. (2) V. Le dessin d'Hoffmann. Catalogue des Monnaies Françaises de Hugues Capet à Louis XVI, pl. xxvi, n° 31.
Héliog. Dujardin Imp Ch.Wittmann POMMES DE CANNES FT MANCHES DE COUTEAUX trouves dans le parc de Villeroy
L'Abbé GUIOT d'après son ex-libris. En 1804, l'Archevêque de Paris l'appela à la Cure de Bourg-laReine, et ce fut là qu'il termina, trois ans plus tard, le 21 septembre 1807, une existence qui avait été si agitée et si tourmentée. Malgré tant de traverses, elle n'en a pas moins été très utile par les nombreux travaux qu'il a laissés et qui lui ont assuré une place honorable dans l'estime du monde savant. Par ce qu'il a fait, on peut juger de ce qu'il aurait pu produire s'il avait vécu à une époque moins tourmentée. Nous aurions voulu joindre à cette notice déjà longue la bibliographie des travaux manuscrits et imprimés de l'abbé Guiot; le temps et la place nous manquant, nous en ferons l'objet d'un
CORBEIL CHUREPO ETAMPES PARIS ALPHONSE PICARD ET FILS, ÉDITEURS LIBRAIRES DES ARCHIVES NATIONALES ET DE LA SOCIÉTÉ DE L'ÉCOLE DES CHARTES Rue Bonaparte, 82 1898
CLOCHER DE BRUNOY, SCULPTURE DU CONTREFORT DROIT, COTE OUEST.
CLOCHER DE BRUNOY, SCULPTURE DU CONTREFORT GAUCHE, COTÉ OUEST.
NGU Nous partagions l'avis de M. Jeannest-Saint-Hilaire quant aux écus de la face ouest et, nous appuyant sur l'inscription centrale, nous inférions que l'écu en abîme et les huit coquilles en orle étaient les armes de Lannoy et les sept fuseaux celles de Rouy; que l'écusson de la face nord était la confirmation de notre induction, puisque ces mêmes armes y sont reproduites mi-parti. Le malheur a voulu que le Père Anselme ait donné au comte Charles de Lannoy, arrière-petit-fils de Pierre et de Françoise de Rouy, les armes des Lannoy de Flandres (Trois lions de sinople, couronnés d'or, armés et lampassés de gueules) (2). (1) T. 2, page 494. (2) Les Grands officiers de la Couronne, par le P. Anselme, T. 8, p. 72.
CLOCHER DE BRUNOY, SCULPTURE DU CONTREFORT DROIT, COTÉ NORD.
Ce Guillaume était le fils aîné de Pierre de Lannoy et de Françoise de Rouy. A la mort de son père, il fit l'aveu au roi des fief et seigneurie de Brunoy, à Paris le vingt novembre quinze cent trentehuit (1). — 5065. DE LANNOY, Chistophe, seigneur de la Boissière, gentilhomme ordinaire de la chambre, guidon de soixante lances sous monsieur de Villequier. Ecu en abîme accompagné de huit coquilles en orle, entouré de trois palmes; sans légende. Reçu de gages daté de 1581. « Nous Christophle de Launoy, seigneur de la Boissière, gen- « tilhomme ordinaire de la chambre du roi, guidon de la com- « pagnie de soixante lances de ses ordonnances sous la charge de «< monseigneur de Villequier, gouverneur de Paris et élu de «< France, confessons avoir eu et reçeu comptant de maistre « Estienne Galmet, conseiller du dit seigneur et trésorier de l'or- « donnance de ses guerres, par les mains de Prosper Brosseau « payeur de ladite compagnie, la somme de quatre-vingt-six écus « deux tiers, en quarts d'écus de quinze sols parisis, à nous ordonnée « pour nostre estat et place de guidon susdit, de deux mois dix-huit (1) Archives nationales, série P. 3, cote 15.
[Tous les sceaux de la collection Clairambault ayant été surmoulés sur les originaux et ces moulages déposés aux archives nationales, nous nous sommes fait délivrer un exemplaire de chacun des signets de Guillaume et Christophe de Lannoy, lesquels ont servi à la reproduction ci-dessus]. Enfin aucun doute ne pouvait plus subsister, les armoiries sculptées sur le pilier gauche de la face ouest de notre clocher sont incontestablement celles de Lannoy de la Boissière. Restait à établir aussi incontestablement que l'écu aux sept fusées sont celles de Rouy. C'est ce que nous avons tenté sans avoir encore su y parvenir. Tout ce que nous avons pu découvrir de relatif à cette famille, c'est que: Jean de Rouy, seigneur de la Boissière, colonel des légions de Picardie, maria sa fille Barbe, par contrat du 19 décembre 1525, à Antoine de Conflans (souche des vicomtes d'Ouchy, seigneurs d'Armentières) (2). (1) Collection des sceaux de Clairambault, reg. 171, cote S2. (2) Les Grands officiers de la couronne, T. 6, p. 148.
(1) Collection Clairambault, reg. 22, D. 1576. (2) Archives de Seine-et-Oise, série A. nº 1189. (3) Les Grands officiers de la couronne, Tome 6, page 406.
(1) Nobiliaire de Picardie. (2) Archives de Seine-et-Oise, série A, n° 1189. (3) Collection Clairambault, reg. 114, D. 9536.
Societe HISTORIQUET ARCHEOLOGIQUE DE CORBEIL D'ETAMPES ET DU HUREPoix RBEIL HORGPO STAMPES Πεησ DU Déjeuner DU 13 Juin 1898 HORS D'OEUVRE VARIES STATELOTTE D'Anguilles DeSeine A LA MONTGARDE Poulets De Danemarck La Reine SBURGE Filer Piqué Monteypan Au Cresson DeLA FONTAINE AUK SOULIERS Pommes nouvelles Dollesnu BEURRE DE S.GERMAIN Petits pois Chantereine Jambon Yorck Glacé A LA VILLEROY SALADES DO Moulin GALANT FROMAGE ALA CREME De VilleDebor FRAISES DE PETIT BOURG GATEAU-POMPADOUR Vins COTEAU DES ROCHES DE MORSANG, ROUGE ET BLANC Cissac Des Chevaliers de Saint-Jean 1895 CATE - LIQUEURS
Ade Mortiffer La Roche-qui-tourne, à Lardy (Seine-et-Oise). Vue prise du N.-E. Échelle: I m. 70 c. Les anciens du pays se rappellent avoir entendu raconter par leurs ancêtres que « tous les jours à midi précis, arrive un pigeon blanc qui fait tourner la roche ». Suivant une autre version, ce serait non à midi mais à minuit, que la pierre effectuerait son tour sur elle-même et seulement à la nuit de Noël. Ce qu'il y a de certain, c'est que dans toute la région on tenait beaucoup à cette pierre. Nous savons par M. Peccadeau de l'Isle que, lors de la construction du chemin de fer de Paris à Orléans, les habitants du pays s'opposèrent énergiquement à sa destruction. Afin de l'épargner, les ingénieurs de la compagnie modifièrent un peu le tracé. Par suite de l'exploitation d'une carrière de pavés, au pied du monument et des remblais faits par le chemin de fer, les fouilles, autour de la Roche qui tourne, sont devenues impossibles. On a signalé autrefois, tout auprès, l'entrée d'une caverne très importante, mais dans l'état actuel du terrain les recherches ne permettent pas d'en retrouver l'emplacement,
| UCAL_$B769654_00000270 | 80 écoulées depuis 1223 eussent été bien insuffisantes, surtout à cette époque, pour édifier l'église et les nombreux et importants bâtiments qui l'entouraient (1). Corbeil a fait partie du douaire de plusieurs reines de France; Isburge le possédait à ce titre et y résidait souvent, c'est ce qui explique le choix qu'elle fit de cette ville pour y établir son Prieuré. Elle lui donna le nom de St-Jean-en-l'Isle à cause du saint patron de l'ordre qu'elle y amenait, et parce que le lieu choisi par elle était une île formée par la rivière l'Essonne. Elle voulut aussi, par cette dénomination, distinguer sa fondation nouvelle du Prieuré, plus ancien, de Saint-Jean de l'Hermitage, situé non loin de là, dans l'enceinte de Corbeil, près des murailles de la ville. Quoi qu'il en soit de la date exacte de la fondation du Prieuré, il est certain que c'est à partir de 1223 que la reine y établit définitivement sa résidence. Elle vécut là treize ans, dans le calme et la prière, et quand elle mourut, au mois de juillet 1236, âgée d'environ 60 ans, elle fut inhumée dans le choeur de cette église qu'elle avait peut-être édifiée et où elle avait tant prié. Les religieux lui élevèrent un tombeau magnifique, recouvert d'une plaque de cuivre, sur laquelle la reine était représentée en pied, vêtue d'une large cotte-hardie, retenue par une ceinture, et d'un ample manteau doublé de vair; elle portait un sceptre sans fleur de lys et une couronne à simples fleurons de laquelle s'échappaient de longs cheveux flottant sur les épaules (2). Ce tombeau resta là, dans le choeur de l'église, pendant cinq siècles entiers, de 1236 à 1736, époque à laquelle les religieux (1) Aux diverses opinions émises au sujet de la date de la fondation du Prieuré de St-Jean, nous demandons la permission d'ajouter la nôtre: Nous sommes assuré qu'Isburge a été la bienfaitrice de St-Jean-en-l'Isle, peut-être même a-t-elle fait reconstruire l'église et d'autres bâtiments encore, mais elle n'a pas pu être la fondatrice d'un monastère qui existait déjà huit ans avant sa venue en France. Nous avons la preuve de ce fait par une charte originale de Maurice de Sully, évêque de Paris, qui porte la date de 1185 et se termine ainsi: Actum apud Corbolium in domo fratrum hospitalis ipso die dedicationis capelle eorum, anno incarnati verbi M° C LXXXV Episcopatus nostri XXV (Arch. Nat. S. 5144 |
LA REINE ISBURGE Statue en cuivre qui ornait son tombeau
CORBEIL THUHE POLY ETAMPES PARIS ALPHONSE PICARD ET FILS, ÉDITEURS Libraires des Archives nationales et de la Société de l'École des Chartes MDCCCXCVII
L'Eglife de SGermain-le-Vieux-Corbeil Extrait d'une gravure de Flamen, 1659.1 L'ÉGLISE DE SAINT-GERMAIN-LEZ-CORBEIL Saint-Germain-le-Vieux-Corbeil (1) était, jusqu'à la fin du dernier siècle, le chef-lieu d'un important doyenné du diocèse de Paris; il ne comprenait pas moins de soixante et une paroisses. Construite sur la hauteur, aux confins de la Brie, à l'endroit où le terrain s'abaisse brusquement vers la Seine, son église se présente d'une façon très heureuse quand on s'y rend de Corbeil, par la nouvelle route. Son riche portail, qu'on aperçoit tout d'abord, indique nettement que l'on a devant soi un monument de la fin (1) Une charte du roi Robert de 1029 désigne ainsi le lieu actuel de Saint-Germainlez-Corbeil : « In veteri Corboilo de terra Sancti Germani quæ dicitur Pradels, mansum unum et dimidium. » L'abbé Lebeuf ajoute : « J'écris ceci conformément à l'original de cette charte que j'ai vu…. Il faut observer…. que c'est-là le premier titre où l'expression de Vieux Corbeil soit employée. Odon, Moine des Fossés, qui écrivoit en 1058 la vie du Comte Burchard, s'en sert pareillement…. par opposition au nouveau Corbeil qu'il appelle Junius Corboilum. » Histoire du diocèse de Paris, par M. l'abbé Lebeuf, Paris, 1757, t. XIII, p. 132. L'épithète de Vieux Corbeil est restée dans l'usage officiel jusqu'en 1822.
Imp Ch. Wittmann VUE DE L'EGLISE DE ST GERMAIN LEZ CORBEIL (4 Juillet 1841 )
colonnes et d'un certain nombre de chapiteaux, le renouvellement des vitraux de la façade. Plus tard, en 1872, M. Darblay jeune faisait construire le grand tambour d'entrée, au-dessus duquel s'élèvent les orgues, qui sont également dues à sa générosité. En 1882, quelques travaux de restauration relatifs à la couverture et au ravalement extérieur du chevet furent entrepris sous les aus-. pices de M. Charles Beranger, maire de la commune (2). Désireux de compléter l'œuvre de leur père et grand-père, MM. Paul et Aymé Darblay firent venir auprès d'eux, en 1891, (1) Robert (Louis-Valentin dit Elias), né à Étampes, le 15 septembre 1819, décédé à Passy le 29 avril 1874. Élève de David d'Angers et de Fradier, auteur de nombreux bustes et statues, ses œuvres les plus connues sont : l'Enfant Dieu, la France couronnant l'Art et l'Industrie, qui surmonte le Palais des Champs-Élysées, la statue en marbre d'Etienne Geoffroy Saint-Hilaire, à Étampes, la Justice, statue en bronze pour la fontaine Saint-Michel, la Loi, statue en pierre pour le tribunal de commerce, le Fronton de l'École des Mines, en pierre également deux Cariatides pour l'Opéra, etc., etc. (2) M. Charles Beranger est le petit-fils de M. Darblay jeune. Cf. à ce sujet le Bulletin de la Société historique et archéologique de Corbeil, d'Étampes et du Hurepoix, année 1895, pp. 20 à 26.
Hehog Irajardin ANNO DNIA: OCGVAO VII HI EI REQESⱭAT: FAST BI GEORGI TOMBE D'UN PRÊTRE DÉCÉDÉ EN 1287 Imp Ch Wittmann ・・・・玉 121
PRO O ORAGE Iua hic LACEY QAGIS QUER IOHANNES AVRAUVS ISTIVS ECCLESIA DE VEGERI CORBOLIO E DECANVS (31) για ˋ 園 Caα QVADRAGESIMO . W rua 3 ouul 83 21180 AD Heljog Dujardie RPIANITATIS trp Ch Wittmann TOMBE D'UN CURE DU VIEUX-CORBEIL decédé en 1340
Ler marges or ceans lout tal fire dire et chunter le con biase De celle cale per chi premier jo es mopslam ans enrichment Tales and pleaulnes et neuf lecons lanes comentes et melle Jade a diacre Toubh diecer e choices fru gemein troet dit oudert urce faire ang alay eat worse tres tournops Tente pris pr chun an hr mailion geance citables regrettes et Jardin le tout dos auies al a tiller et bir yo suras te terer al ala bunte gue bergiees few a une ala egle quatre arus re alan tillrep muheil dit alle mele mis prices e la epile Delques reate et terre mor andre en afaict buiter les mains a late car par puillance de fiet et.ru eft put temptar pur Lequel cente et terre le Fandre almille le gyres tour Dont le cure on are quarraletres à cahir ter guaires arrus & terry delhi Fletely wrts out temp faire dirgr rhin an mur fours elcris au martilage quatre uelles balles De requiem feu facques brieet dit budirt pe dus gemat item ally lord train leg mrls faire dice le tenace dead ablob releure et laire les pie agnes anom rs y sufres et de alceule munires a com bug calea ettroys Colts et faire dire une meile balle le premier fo Conurnable dames ovena miques n'et a liminonak amiot yufur feu/aques bebet dat oudert etaule diftribuer Buy afilias and Cutter a counung til gallegu me faire Lane enile a comme un septier ble de rente a lane cult pris tur un arpent deterre alla dilep série de figures: le Christ nu, assis sur un tombeau et tenant un roseau; Germain Hébert, à genoux devant lui, ayant à ses côtés saint Germain évêque; à la gauche du Christ, la femme de Germain Hébert, également à genoux, est assistée par un diacre revêtu d'une dalmatique : c'est saint Vincent, premier patron de l'église de Saint-Germain, reconnaissable au cep de vigne gravé derrière lui. Voici cette inscription, attribuée par Guilhermy au xvi° siècle : Les margnilliers de ceans lont tennz faire dire et chanter par le cure on vicaire De celte eglile par chacun premier Jonr des mops de lan lans empelchement vigiles a nenf pleanlmes et nenf lecons landes commendaces et melle banlte a diacre fonbz diacre et choriers pour fen germain hebert dit ondart El pour ce faire a donne a ladite eglife donze livres tournoys de rente pris par chacun an fur la maison granche eltables bergerie et Jardin le tont clos a mars allis a tillery (2) et lur xv arpens de terre allis a la butle anx bergiers Jtem a donne a ladite eglile quatre arpens de ferre allis andit fillery an lien dit Jally ponr eltre mis anx priers de ladife eglise Delquels rente et terre monlienr de S' andre en a faict vuider les mains a ladite eglife par puillance de fief et en elt de prelent detemptenr pour (1) Pour choristes. (2) Pour Tigery, il y a là une faute du graveur. 1 (3) De même que l'abbé Guiot, nous avons lu puissance et non pas quittance, comme le dit Guilhermy.
Moble feme emile mris Javis la feme Qm Challa Paez neu peule: Hélieg Dujardin Cygilt doble home toys tillet enlon vialt Frownl le ybi Jo de feptemibze mil vez kye: Ct TOMBE DE LOYS TILLET. décédé en 1516. et de DENISE PARIS. sa femme coquatre degenolly z de la granche ala puote huller du Foy ure fire en la cot de plemet Qm Plmalla Imp Ch Wittmann
Les marguilliers paelens eta lenie te legte et paroille germain du bicil corbueil font terug face dice chanter et celebzer en la eate a toulious peetuellement a bintentio be fobleteme Catherine utillet efue de feu Tebo le cocheteen Con viuant buillier des requeltes duplas et de les parens et amps buns et trefalleg douge obitz Colewpnely par chi a quele afondes de lon but quá feront celebzez le premier leadede de chun moes heure de buiet atenda neuf heures du matin au cueur de ladicte egte Lelquely obity feront de bigilles a neuf plenulmes et neuf becons laudes Vecbmandaces et une melle po les teelpallez le tout chauta notte a multe wix et la melle a diacie loubg diace et chailles ala fin du fuice Ceza faicte procellion alentour des pilliers de ladicte egte auce la cor et lease temilte en chantant le teilet libera me domine de monte etema et aultres fuffrages zozailos propres Et ala fin de la procellion viendront les gens begile fur la folle et au lieu ou eft Jubume feu moys. Dutillet feigneur dual roquatris ze te ladicte lefue et aucuns tes frezes et leurs telle en la chapelle viere ou z adruezout leld fuffrages et y diront aulle le pleadme de deprofimdis et orailons popes pour la celebzation telquely obitz fences et melles lety mattre Cont temuz fournir et adminiftrer les plus beaulx et les plus boneltes amemens tes teelpallez de la eglife bare calice huminaire et aultres chules ace necellaires Et auant que comancer a chanter et celeber left obitz Cezont temy lely margalhiers faire tinter p de dueles fois les petites doces et ala troifiefme fors fare Conner les grolles cloches pour laquelle fondado ladicte dutillet a conlane alad egile vingt lures e de vente media ao Pachetable aux bous poinct et ailemens de la duillet a la charge que les tenies du vachapt lezout employez en autres Yentes toutefois et quantes que vachapt en Ceza faict es lers delquely emplois Ceza faict mention que left de la fondado de lad dutillet ainly que le tout eft aplain contenu au contract de ce faict et palle p deuat Jacques patio notaire Topal aud coburil le yeb Jour dail mil cinq cens (oixante fix Tequielcat Jn pace ce qui explique la vingtième ligne de cette longue inscription que nous transcrivons: Les margnilliers prefens et a venir de leglife et parroille k germain du vieil corbned font tennz faire dire chanter et celebrer en ladite eglile a tonlionrs perpetuellement a lintention de Noble femme Catherine dnkillet” vefne de fen Me Jehan le cochete en lon vivant huillier des Pequestes du palars et de les parens et amps vivans et trelpallez donze obitz Colempnel par chacun an quele a fondez de lon vivant z qui (1) On remarquera qu'entre 1516 et 1566 le nom de Tillet s'était enrichi de la particule.
DO M Fey gift Francois Baftonneau viuat efeuyers de la Beranderie & Ber Jeuille Cappitame de gens de pied Toubzle Comanderant de Monteur de Giury qui fut the Flefcalde par les espagnolzalaroprie de Corbeil Muriceux par led, Seig de Giary level D. O. M. Icy gist Francois Bastonneau vivant escuyer S. de la Berauderie & Belleuille Cappitaine de gens de pied soubz le Comandemant de Monsieur de Givry qui fut tué a lescalade par les espagnolz a la reprise de Corbeil sur Iceux par led. Seig“, de Givry le x Io” de Novem. bre M. vc xxx Priez dieu por so Ame Haut. om,275, larg. om,365. Deux écus découpés dans la partie inférieure de la plaque de cuivre ont dû contenir, en émaux peut-être, les armoiries du défunt. Le tombeau sur lequel se trouvait autrefois cette inscription n'existait déjà plus du temps de l'abbé Lebeuf, qui a trouvé cette plaque clouée au mur du collatéral nord, comme nous l'avons connue jusqu'en ces derniers temps (2). Dans le collatéral nord, sur la pierre qui avoisine le petit tam- (1) Bibliothèque de Rouen, fonds Montbret. (2) Histoire du diocèse de Paris, par l'abbé Lebeuf, t. XIII, p. 130.
à peu près intacts, ils renfermaient encore des fragments de charbon de bois; quatre à cinq trous avaient été percés sur leur pourtour. C'était, on le sait, des sortes de brûle-parfums qu'on disposait auprès des corps. Le désordre de ces tombes indiquait clairement qu'elles avaient été déjà visitées. Tous ces ossements ont été réunis avec un soin pieux dans une caisse en chêne : cette caisse est aujourd'hui scellée dans un massif de maçonnerie, à droite du maître-autel. Le couvercle porte une plaque de cuivre avec la mention suivante : CETTE BOITE RENFERME DES OSSEMENTS QUI ONT ÉTÉ TROUVÉS DANS LE CHŒUR DE L'ÉGLISE DE SAINT-GERMAIN-LEZ-CORBEIL PENDANT LES TRAVAUX DE RESTAURATION QUI Y FURENT ENTREPRIS PAR LES SOINS ET AUX FRAIS DE MM. PAUL ET AIMÉ DARBLAY AU COURS DE L'ANNÉE 1895. Nous avons déjà parlé du caveau qui occupe une partie de la chapelle de la Sainte-Vierge. Il était recouvert d'une voûte dont la construction avait nécessité à cet endroit l'exhaussement du sol; elle a été remplacée par un solide plancher en fer qui protégera pendant longtemps encore la sépulture des anciens seigneurs du Vieux-Corbeil. Le sol entier de l'église est aujourd'hui recouvert de pierre de
L'Ascension témoins Les de de Apôtres l'Ascension N.S. Ses Femmes Apparit du Christ a sa mère au Tombeau Anges adorant la Croix La Loi Le La Christ Loi Mosaïque Nouvelle en Croix Arreste de Jésus Flagellation Le Couronnement React de Jesus et de sa Mere d'épines Le L'Agonie La Cene Lavement des pieds Les Rameaux
noiensseA3 anioma? sb sb لوع 2.W noiansoek! Jog 20mm972 usedmal us espnA xion si trenobs tehub لو joj Jaind joj supiszol xion ne allevuok evestab noisllspet STEM ebarq 29b tramenntue eenigsb و auasl angus pinopAJ Kusem&Ras!
Heliog Du aran Imp h Wittmann GRAND VITRAIL DU SANCTUAIRE
Hoog Dujardin VITRAUX DES PETITES BAIES du Sanctuaire Imp Ch Wittmann
Décollation de Martyre de SJean Baptiste S! Laurent Martyre de St Barbe Le couronnement Agneau Pascal de Charlemagne parle PapeS Léon St Martin coupant Martyre de son manteau S.Barthélemy
Hang Luardin OCULUS DU SANCTUAIRE Imp Ca W mann
Ce fragment, qui n'a pu être utilisé, est aujourd'hui déposé au musée de Saint-Jean. On a adopté pour ces ouvertures des verres en forme d'écailles de diverses couleurs, régulièrement imbriquées. Chaque baie est encadrée d'une bordure unie alternativement rouge et bleue. Le ton très doux de ces vitraux permet à la lumière de pénétrer en quantité suffisante dans l'édifice. Nous regrettons que la note de M. Dufour nous soit parvenue dictes besongnes seront faicte, parfaicte et receue… Promettant, obligeant, renonçant, etc. « Faict et passé en l'hostel et domicille dudict Dauvergne, présen [ce] de Simon Loriot, sergent à verge au Chastelet de Paris, et Jacques Sourdeau, tesmoins. JACQUES GUILLAUME AUMONT, PIERRE FERRY, J. DAUVERGNE, BAPTISTE LEPÈRE, IMBERT PINET, J. HÉBERT, MOYREAU, — LORIOT, — …… — HARLY, NOTAIRE. » — Archives de Seine-et-Oise. E. 6883. Pièce numérotée 47. « Du mardy XIIIIe Novembre mil six cens vingtz huict. « Fut présent Gabriel Guinault, vitrier, demeurant à Corbeil, lequel contesse avoir
Tujardin PL 12 HRIEUR DE LEGLISE avant la restauration de 1895 96. Imp. Ch. Wittmann
1. Dujardin 165 INTERIEUR DE L'EGLISE EN 1897 Imp Ch. Wiumann
Dujardin ESQUISSE DU TABLEAU DE L'ABSIDE DE
EGLISE DE SAINT GERMAIN LEZ CORBEIL. Imp. Ch Wittmann