Station néolithique
Zone d'habitation gallo-romaine ) la Croix-Blanche (IVe siècle)
Première mention du lieu vers 1150 comme possession de l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés.
Nouvelle mention en 1195 comme possession de l'abbaye de Sainte-Geneviève.
À partir des années 1250 est mentionné un régisseur (major, “maire”) pour le compte des moines.
En 1648, implantation d'un nouveau relais de poste, supprimé en 1710 (d'où le nom de Vieille-Poste adopté en 1926).
Louis XV offre des terres sur les communes actuelles du Paray et Wissous au maréchal Noël Jourda de Vaux, dont le cœur est conservé à Paray dans un Monument sépulcral.
En 1769, création par Pierre Mauger d'une auberge d'une auberge, devenue ferme en 1859.
En 1836 elle compte 88 habitants.
Le bourg est presque entièrement détruit en 1870. Cent habitants périssent.
En 1890 est édifiée la première mairie-école au lieu-dit Vieille-Poste.
Le Plan de défense de Paris, adopté le 10 juillet 1914, prévoyait la rénovation de la ferme de Contin en ouvrage de défense.
La Grande Guerre fauche 60 jeunes gens.
En 1917, l'Armée de l'Air des États-Unis sur le plateau de Longboyau une piste d'atterrissage devenu en 1919 l'aérodrome d'Orly-Villeneuve.
En 1921, un cabinet immobilier achète les terrains de la ferme Contin pour implanter un lotissement
En 1925, le diocèse acquiert la grange de la ferme de Contin pour établir la nouvelle église Jésus-Ouvrier.
En 1929 est édifié le groupe scolaire Jules-Ferry.
En 1931, arrivée de l'électricité et l'eau courante.
En 1932, ouverture du second groupe scolaire Paul-Bert.
En 1933, achèvement des routes de la commune.
En 1946, les États-Unis vendent à l'État français l'aérodrome en ruine.
À partir de cette date, le centre-ville se déplace vers la nouvelle place Henri-Barbusse.
Le 6 mai 1954 l'extension de l'aéroport d'Orly est déclaré d'utilité publique, ce qui entraîne des expropriations limitant l'urbanisation de la commune au tiers sud de son territoire.
En 1957, érection du nouvel hôtel de ville et de l'agence postale place Henri-Barbusse
En 1958, le cimetière est déplacé aux frais des Aéroports de Paris.
En 1967 la commune fait l'acquisition du centre de vacances des Mélèzes à Bonneville (Savoie)
Elle acquiert aussi en 1977 le centre de loisirs de
Saint-Chéron.