Charles Jappin de Beaumont, né vers 1632 était le fils d'Étienne Jappin de Farcheville (mort en 1642) et de Lucrèce de Jousselin.
Il avait pour frères et soeurs: Maximilien Jappin de Fracheville (1624-1673), Étienne Jappin d'Orveau (né en 1626), Charles Jappin d'Émerville (1627-1696), Jean-François Jappin de la Tour (1628-1720), Jeanne Jappin de Toisy (1629-1703), Anne Jappin de Sainte-Marie (née en 1630), François Jappin d'Orveau (né en 1634), René Jappin (né en 1637), Lucèce Jappin (née en 1640) et Nicolas Jappin de Bretonvilliers (né en 1641).
Chevalier, seigneur de Beaumont, puis baron de Bouville et de Farcheville à partir de 1696.
Témoin à Bouville le 11 janvier 1661 du mariage de Louis Lemaire et Cantienne Poulard.
Parrain à Bouville le 29 avril 1664 d'Eutrope Hardouin.
Témoin à Bouville le 5 février 1691 du mariage de Noël Mauger et de Jeanne Paris.
Témoin à Bouville le 12 juillet 1695 du mariage de Noël Laslier greffier de la baronnie de Farcheville et de Marie Hébert.
Parrain à Abbéville-la-Rivière le 9 mars 1659 de Maximilien de Vion fils de Louis de Vion seigneur de Cottainville et de Jacqueline de Languedoue.
Donation à Paris le 1er mai 1682, alors qu'il y réside Vieille rue au Temple, paroisse Saint-Gervais, à Lucrèce Piat, fille majeure, rue Perlée paroisse Saint Paul, devant Guichard notaire.
Témoin à Bouville le 20 juillet 1695 du mariage de François Luzay et Denise Herbelot
Hérite du du titre de baron de Bouville et Farcheville par suite du décès à Paris le 7 mars 1696 de son frère Charles Jappin d'Émerville.
Témoin à Bouville le 13 août 1698 de l'inhumation de Cantienne l'Esenier femme de Jean Jeuslin.
Témoin à Bouville le 22 février 1700 du mariage de Cantien Rivier et Marie Jeuslin.
Il meurt à Bouville le 4 avril 1701 en son château de Farcheville, âgé de 69 ans.
N.B. Le parrain à Bois-Herpin le 10 juillet 1674 de Charlotte Hauquelin, fille de Charles Hauquelin maître-jardinier en la vicomté de Bois-Herpin et de Marguerite de La Comble, paraît être son frère et homonyme.
Documents
Blason dessiné par D'Hozier (vers 1700) — BnF ms. fr. 32250 p. 23