L'église primitive de Marolles-en-Hurepoix avait été bâtie dès le XIe siècle.

Au XIIe siècle, mention du village conservée par le Cartulaire du prieuré de Longpont dont les moines possède une terre de franc-alleu à Marolles.

Au XIVe siècle, le village pâtit des désordres de la guerre de Cent Ans, puis de la guerre dite du Bine Public lors des affrontements autour de Montlhéry.

Entre 1444 et 1471, la population décimée est en partie renouvelée par l'arrivée d'une trentaine de migrants venus grossir la paroisse de 150 habitants, pour la plupart laboureurs arrivant de Normandie, du Centre ou de Picardie.

Château de Beaulieu

Château de Gaillon

Château de Marolles

Château des Tournelles

L'étymologie du nom Marolles est discutée.

L'église primitive de Marolles-en-Hurepoix avait été bâtie dès le XIe siècle.

Un ancien pouillé lui donne le nom de Marolles en Josas, parce cette paroisse du diocèse de Paris relevait alors de l'archidiaconé de Josas; le nom actuel de Marolles-en-Hurepoix est attesté pour la première fois en 1711; sous la Révolution la commune est dénommée Marolles-les-Arpajon; en 1849 un décret de la Seconde République lui rend son nom d’origine.

1. Étienne Delavau (1790-1791) — 2. Étienne Fossard (1791-1792) — 3. Pierre Chevallier (1792-1795) — 1.bis Étienne Delavau (1795-1813) — 4. Alexandre I Petit de la Borde (1813-1815) — 5. Pierre-Louis Longeau (1815-1816) — 4.bis Alexandre I Petit de la Borde (1816-1816) — 6. Barthélémy-Paul Hubert (1816-1820) — 7. A.-M. Duval de Mondeville (1820-1826) — 8. Joseph Levassor (1826-1836) — 9. François Ratelle (1836-1843) — 10. Alexandre II Petit de la Borde (1843-1865) — 11. Charlemagne-Antoine Bonfils (1865-1871) — 12. Pierre-Auguste Mosny (1871-1874) — 10.bis Alexandre Petit de la Borde (1874-1880) — 13. Aloyse Schott (1880-1883) — 14. Isidore Jumentier (1883-1884) — 13.bis Aloyse Schott (1884-1887) — 15. Eugène Brou (1887-1892) — 16. Jean-Baptiste-Achille Treilhard (1892-1899) — 17. Émile Josset (1899-1900) — 16.bis Jean-Baptiste-Achille Treilhard (1900-1912) — 18. Gustave Bourbonnais (1912-1925) — 19. Maurice Loiseau (1925-1935) — 20. Guillaume Rouger (1935-1937) — 21 Gervais Gailledrat (1937-1940) — 23. Vacance (?) — 21.bis Gervais Gailledrat (1944-1953) — 24. Roger Vivier (1953-1965) — 25. André Adnot (1966-1971) — 26. François des Garets (1971-1977) — 27. Micheline Bruchon (1977-1983) — 28. Jean Farges (1983-1994) — 29. Lucienne Leblanc (1994-1994) — 30. Alain Loiseau (1994-2008) — 31. Georges Joubert (2008-2023…)

Marolles-en-Hurepoix en cartes postales

MC/ET/VIII/1607 (minute du notaire parisien Émile Fould) — Vente en date du 8 juin 1842, par Michel Rolland demeurant à Paris 11 rue Guenegaud, Catherine-Alexandrine Petit de La Borde demeurant à Étampes, et Alexandre Petit de La Borde demeurant à Marolles (Seine-et-Oise), à Honoré Jean Adolphe Abeille demeurant à Paris 58 rue de la Verrerie, d'un hôtel à Paris 36 rue de la Chaussée d'Antin. Déclaration de command par ledit Abeille au profit d'Étienne David demeurant à Paris 27 rue d'Estrées, Pierre Sacareau demeurant à Paris 59 rue La Fayette, Louis Vivant Lagneau demeurant à Paris 38 rue de la Chaussée d'Antin, et Jean Louis Greffulhe demeurant à Paris 32 rue de la Chaussée d'Antin, avec indication des partages. Quittance en date du 14 janvier 1843.

MC/ET/VIII/1607 (répertoire du notaire parisien Jean-Jacques Roquebert) — Quittance en date du 20 novembre 1851 du paiement d'une créance de 68.924F sur adjudication d'une maison à Paris 36 rue de la Chaussée-d'Antin, par Michel Rolland, propriétaire domicilié à Paris 11 rue Guenegaud, et Alexandre Petit de Laborde propriétaire domicilié à Marolles-en-Hurepoix; à Alexandre Torlonia, banquier domicilié à Rome.

Institut géographique national, Étampes. 1re édition (1 feuille en couleur de 56 cm sur 73, carte topographique, échelle 1:50.000, projection conique conforme de Lambert, E 2°9'23“- N 2°30'59”, N 48°36'- N 48°25'12“, relief représenté par courbes de niveau, points cotés et estompage, fond cartographique en date de 1999, concernant les communes essonniennes d'Arpajon, Auvers-Saint-Georges, Ballancourt-sur-Essonne, Baulne, Boissy-sous-Saint-Yon, Breuillet, Chamarande, Chevannes, Le Coudray-Montceaux, D'Huison-Longueville, Égly, Étampes, Étrechy, La Ferté-Alais, Guigneville-sur-Essonne, Itteville, Janville-sur-Juine, Marolles-en-Hurepoix , Mauchamps, Mennecy, Mondeville, La Norville, Saint-Sulpice-de-Favières, Saint-Vrain, Soisy-sur-École, Torfou, Vert-le-Grand), Paris, IGN (“Série M 762, WGS 84, carte de France au 1:50 000e”, 2316), 2001.

Parti communiste français. Section (Brétigny-sur-Orge, Essonne), Regards 1 (5 juin 1970). — Ce supplément à La Marseillaise de l'Essonne, imprimé à Étampes et édité par la Section du Parti communiste français de Brétigny (Brétigny, Marolles, Saint-Vrain, Plessis-Pâté, Leudeville, Leuville), ne semble avoir eu qu'un seul numéro.

Jean-François Vallin, Si mon canton m'était conté. Contribution à l'histoire des communes composant l'actuel canton de Brétigny (21 cm, 208 p., illustrations, ISBN 2-950204-50-3), Brétigny-sur-Orge, J.-F. Vallin, 1987. — La couverture précise: Brétigny-sur-Orge, Plessis-Pâté, Marolles-en-Hurepoix, Saint-Vrain, Leudeville.

Virginie Amilhat, Dominique Bassière et Yann Rossignol, “Marolles-en-Hurepoix”, in Jean-Luc Flohic (dir.), Le patrimoine des communes de l'Essonne (2 volumes, 25 cm, 1053 p., illustrations, bibliographie pp. 1026-1053, index, ISBN 2-84234-126-0), Paris, Flohic, 2001, t. 1, pp. 146-148.

Collectif d'internautes, ”Marolles-en-Hurepoix“, Wikipédia, depuis 2004, en ligne en 2022.

Municipalité de Marolles-en-Hurepoix, Site officiel, en ligne en 2022.